Les célébrations de fin d'année sont imminentes ! Cette période est propice pour que "Zone interdite" s'intéresse aux marchés de Noël fervemment prisés et répandus à travers la France. Ce dimanche 22 décembre sur M6, l'émission animée par Ophélie Meunier a exploré les divers marchés de Noël de l’Hexagone. Effectivement, ces derniers foisonnent et rivalisent avec le plus renommé d'entre eux : celui de Strasbourg. Cette référence incontournable attire chaque année des millions de visiteurs, dont pas moins de 3 millions l'année dernière. Cependant, d'autres cités ambitionnent de rivaliser avec ce géant.
À l'est, le marché de Kaysersberg, une petite localité d'Alsace, connaît un succès considérable. Pour séduire les visiteurs, il vise à demeurer authentique. Dans le sud, Barcarès dévoile un marché qui ne fait pas les choses à moitié : six millions d'euros ont été investis pour mettre sur pied un marché exceptionnel. Malheureusement, un incendie avant son inauguration a endommagé et ravagé une partie des installations. Malgré ce contretemps, les exposants ont veillé à maximiser leur rentabilité, à l'image de Mickaël Casas. Ce restaurateur, disposant d’un stand plus restreint que prévu en raison de l’incendie, a adapté son offre pour attirer le maximum de clients. Il a ajouté des tables et des chaises et a même invité un groupe de rock pour attirer les curieux. Grâce à sa ténacité, il espère atteindre un chiffre d'affaires de 200 000 euros à la fin de la saison.
Au nord, Arras se positionne également dans la course aux plus magnifiques marchés de Noël. Cette année, 140 chalets ont été érigés avec un gigantesque sapin orné de 40 000 lumières qui surplombe l’ensemble. Le reportage exclusif de "Zone interdite" a permis aux téléspectateurs de découvrir les diverses propositions des marchés de Noël : des décorations, des œuvres artistiques, des bijoux, une multitude d’activités mais surtout la vente de nourriture. Cette période offre aux touristes l’opportunité de boire et manger dans un cadre féérique. Ainsi, les tarifs pratiqués peuvent être très élevés et se justifient par l’artisanat.
Au marché de Kaysersberg, une famille passionnée par les marchés de Noël est venue le visiter. En peu de temps, ils dépensent une somme considérable, goûtent les marrons chauds et acquièrent divers objets artisanaux. En l’espace d’une heure, ils déboursent 100 euros. Sur les réseaux sociaux, les internautes critiquent les dépenses des touristes et les prix pratiqués dans les marchés de Noël. Un observateur média s’exclame que les marchés de Noël sont un piège à touristes tandis qu'un autre utilisateur s’offusque du montant de 100 euros dépensé en pain d’épices. Un autre internaute exprime son mécontentement face à un chalet proposant des moules, des tapas et de l’aligot, jugé non traditionnel.
Les réactions sur les réseaux sociaux ne se sont pas fait attendre. Les utilisateurs se sont indignés des prix élevés et des dépenses excessives des touristes, certains les qualifiant de "pigeons". D'autres se plaignent de la médiocrité des produits proposés, estimant que certains articles ressemblent à des créations d’enfants. Cette atmosphère de critique et de scepticisme reflète le sentiment croissant que ces marchés de Noël pourraient être davantage axés sur le commerce que sur la véritable magie des fêtes.
Cependant, malgré ces critiques, les marchés de Noël continuent d'attirer un grand nombre de visiteurs, captivés par l'ambiance festive et les expériences culinaires uniques offertes. Les organisateurs et les exposants s’efforcent de créer des environnements mémorables et authentiques, espérant que la magie de Noël l'emporte sur les considérations commerciales.
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