Gianguido, le fils adoptif de Macha Méril, "malheureux" en Italie : l'actrice explique les raisons de son mal-être

Macha Méril : Une Mère Préoccupée

Macha Méril est une mère préoccupée. Son fils adoptif, Gianguido Baldi, exprime son "malheur" en Italie, le pays qu'il a choisi pour vivre. Dans une interview accordée à "Télé Star", la veuve de Michel Legrand explique les raisons du malaise soudain de son fils dans sa terre natale. La dolce vita ne semble plus être d'actualité pour Gianguido Baldi.

Le Mal-être de Gianguido en Italie

Fils adoptif de l'actrice Macha Méril, Gianguido Baldi, acteur italien, traverse une période sombre dans son pays natal. C'est sa célèbre mère qui a partagé cette information avec les journalistes de "Télé Star" dans le dernier numéro du magazine. "Il vit en Italie," souligne la veuve du regretté Michel Legrand. "Actuellement, avec Giorgia Meloni (la présidente du Conseil des ministres italien), il est malheureux. Sur le plan culturel, c'est affreux ce qui se passe."

La politique fortement à droite de l'élue italienne laisse peu de place à la culture, réduisant les opportunités artistiques de Gianguido et le plongeant dans une détresse qui inquiète profondément sa célèbre maman.

Un Regret de Ne Pas Avoir Eu d'Enfants

Macha Méril n'a pas eu d'autres enfants, ce qui demeure l'un de ses plus grands regrets. En 2018, alors qu'elle était sur le divan de Marc-Olivier Fogiel, l'actrice (qui avait épousé Michel Legrand en 2014) avait confié : "Il y avait réellement une cassure dans ma vie, le jour où j'ai su que je n'aurai jamais d'enfant." Cela ne l'a pourtant pas empêchée de devenir mère en adoptant Gianguido, le fils de son ex-mari Gian Vittorio Baldi, issu d'une précédente relation du producteur de cinéma italien.

Retour sur un Avortement à l'Adolescence

Dans "TV Grandes Chaînes", également disponible actuellement, Macha Méril revient sur son impossibilité de donner la vie. À la question de la journaliste sur la raison pour laquelle elle n'a jamais eu d'enfant, l'actrice répond : "Comme beaucoup de filles de mon époque, j'ai dû avoir recours à un avortement tardif à 16 ans. Suite à cela, je n'ai jamais pu avoir d'enfant."

Qualifiant cet événement comme "l'un des drames" de sa vie, Macha Méril préfère tout de même voir le verre à moitié plein : "C'est mon petit côté aristo," conclut-elle dans "TV Grandes Chaînes". "Je pense qu'il faut arborer une belle allure, ne pas montrer un visage de mater dolorosa… Même quand ça ne va pas." Des conseils qu'elle a certainement prodigués à son fils adoptif, qui n'est pas vraiment comblé en Italie actuellement.